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Droit et devoir de Memoire
4 février 2023

franc-maçonnerie les poursuites du fascisme français de Pétain 1940 1945

 

 

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 Par arrêté publié le 28 mars 2022, les ministres de la Justice et de la Culture ont autorisé de façon anticipée l'accès aux archives des procès de Maurice Papon, condamné en 1998 pour complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle dans la déportation de juifs entre 1942 et 1944.

Arrêté du 26 janvier 2023 portant ouverture des archives des procès impliquant Maurice Papon
NOR : MICC2227152A
ELI : https://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2023/1/26/MICC2227152A/jo/texte
JORF n°0023 du 27 janvier 2023

LOI complétant la loi du 13 août 1940 relative à l’interdiction des associations secrètes. 

Nous, Maréchal de France, chef de l’Etat français, Le conseil des ministres entendu, Décrétons : Art. 1er. — L’article 3 de la loi du 13 août 1940 portant interdiction des associations secrètes est complété comme suit: « Dans les territoires relevant du secrétariat d’Etat aux colonies, à défaut de bureaux de bienfaisance, le produit de la liquidation des biens des associations et groupements dissous sera versé aux offices coloniaux des mutilés, combattants, victimes de la guerre, et pupilles de la nation des territoires intéressés ». 

Art. 2. — Le présent décret sera publié au Journal officiel et exécuté comme loi de l’Etat. Fait à Vichy, le 20 novembre 1940. PH. PÉTAIN. 

Par le Maréchal de France, chef de l’Etat français: i 

Le vice-président du conseil, ministre secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, PIERRE LAVAL. 

Le garde des sceaux, ministre secrétaire d'Etat à la justice, RAPHAËL ALIBERT.

 Le ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, MARCEL PEYROUTON. 

Le secrétaire d’Etat aux colonies, A* PLATON

 

Adrien Marquet

La municipalité est alors gérée depuis 1925 par le maire Adrien Marquet. Socialiste devenu néo-socialiste, comme ses acolytes Marcel Déat et Barthélémy Montagnon, il a été exclu de la SFIO en 1933 pour ses penchants réactionnaires ; on rappellera son slogan, « Ordre, autorité, nation » qui épouvantait Léon Blum. Fort de son soutien à Pétain et Laval lors de la crise finale de la IIIe République à Bordeaux et à Vichy et notamment lors du vote des pleins pouvoirs du 10 juillet 1940, Marquet est promu ministre de l’Intérieur, fonction qu’il exerce entre juin et septembre 1940. Il est le troisième personnage de l’État après Pétain et Laval. Ses fonctions coïncident avec la mise en œuvre de la loi antimaçonnique du 13 août 1940, voulue par Pétain et orchestrée par le ministre de la Justice Raphaël Alibert. Par ailleurs, il entretient d’excellents rapports avec l’occupant jusqu’à la fin du conflit. 

Son journal, Le progrès, dans lequel le jeune politiste Maurice Duverger livre quelques articles et le dessinateur Chaval déploie ses talents de caricaturiste, appelle de ses vœux la victoire du Reich en Europe. Adrien Marquet reste en fonction pendant toute la durée de la guerre, cédant aux exigences allemandes et collaborant aussi par la propagande.Ainsi, la municipalité ouvre-t-elle son musée à un certain nombre d’expositions, anticommuniste et antisémite, comme celle intitulée « Le Juif et la France », au printemps 1942 Hubert Bonin, Bernard Lachaise, Françoise Taliano-des Garets,…. Celle-ci a d’abord transité par le Palais Berlitz à Paris. Elle est l’occasion à Bordeaux de diffuser des films antisémites dans les jardins de la mairie, de proposer à la vente des ouvrages antisémites ; elle reçoit, en à peine deux mois, quelques 60 000 visiteurs. Celle sur « Le Bolchevisme contre l’Europe » est organisée en octobre 1942 est inaugurée par le gotha politique et universitaire bordelais. La propagande est un outil aux mains d’une administration et d’un pouvoir politique déterminés.Le régime de Vichy a renforcé dès ses débuts le rôle des préfets, véritables porte-paroles de la Révolution nationale dans leur circonscription, faisant disparaître toutes formes de démocratie représentative locale. À Bordeaux, l’administration préfectorale, d’abord confiée au préfet Pierre-Alype, est remaniée en juin 1942, ce qui correspond au niveau national au durcissement du régime avec le retour de Pierre Laval au pouvoir au printemps 1942. Arrive donc à Bordeaux une équipe de hauts fonctionnaires zélés : le préfet Maurice Sabatier, le secrétaire général de la préfecture, Maurice Papon, le chef de cabinet du préfet, Jean Chapel. Ils vont s’employer à traquer les communistes, les républicains espagnols, les francs-maçons, les réfractaires au STO, les résistants et bien sûr les Juifs. Maurice Papon a délégation de pouvoir sur cette question. Le chef de l’administration militaire allemande, le commandant Luther, est l’interlocuteur privilégié de la préfecture. On chiffre les victimes juives déportées depuis Bordeaux entre juillet 1942 et mai 1944 à 1 560 dont 223 enfants. Maurice Papon sera condamné, le 2 avril 1998, pour complicité de crime contre l’humanité pour quatre convois de déportation sur les dix partis de la gare Saint-Jean. Parmi les plus terribles opérateurs du système répressif de Vichy, le meilleur appui de la Gestapo est sans conteste le commissaire de police Pierre Napoléon Poinsot.

Chef de la section des Affaires politiques (SAP) qui pratique la torture dans son bureau du cours du Chapeau rouge, à deux pas du Grand Théâtre, et dispose de plus d’une centaine d’agents. Il est promu sous-directeur des Renseignements généraux de la police de Vichy en janvier 1944.

La collaboration fut également économique. 218 entreprises girondines ont travaillé pour les Allemands dont 170 situées à Bordeaux et dans son agglomération. Les secteurs du vin et du BTP sont ceux qui ont tiré le plus grand profit de la période.Des élites économiques, politiques, journalistiques, universitaires, artistiques, religieuses furent à des degrés diverses concernées par la collaboration.

 

Franc-maçon pourchasse par la collbaoration sous l heure d'ete des vaincus de 1945

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la franc-maçonnerie subit l'épreuve la plus terrible de son histoire. Celle qui s'est identifiée à la philosophie des Lumières choisit le camp de la France républicaine et démocratique. Affirmant vouloir travailler à « l'amélioration matérielle et morale, au perfectionnement intellectuel et social de l'humanité », elle trouve face à elle l’acharnement diabolique des nazis et l'entreprise de persécution mise en place par l'État français du maréchal Pétain. La période 1940-1944 marque l'aboutissement de décennies de frénésie antimaçonnique. L'ordre nouveau du maréchal Pétain, de Laval et de Darlan n'a de cesse de liquider, dans tous les sens du terme, tout ce qui, de près ou de loin, peut avoir un quelconque lien avec la franc-maçonnerie. Pour Pétain, un Juif n’est jamais responsable de ses origines, un franc-maçon l’est toujours de son choix. Les chiffres, sont eux aussi éloquents : 3 000 fonctionnaires perdent leur emploi, plus de 1 000 sont assassinés par les Allemands et 64 000 franLa loi du 13 août 1940 s'attache également à légiférer sur le sort du patrimoine des sociétés secrètes. Le dépouillement de l'Ordre de tous ses biens se fait au profit de l'administration générale de l'Assistance publique pour la capitale et des bureaux de bienfaisance pour la province. Plus tard, les immeubles seront également attribués aux Scouts de France ainsi qu’aux œuvres scolaires et sportives.Cette loi s'attache en premier lieu à mettre au pas la fonction publique. L'article 5 stipule : « Nul ne peut être fonctionnaire, agent de l'État, des départements, communes, établissements publics, colonies, pays de protectorat et territoires sous mandat français, nul ne peut être employé par un concessionnaire de service public ou dans une entreprise subventionnée par l'État ou par une des collectivités publiques ci-dessus désignées :

1° S'il ne déclare pas sur l'honneur, soit ne jamais avoir appartenu à l'une des organisations définies à l'article 1, soit avoir rompu toute attache avec elle ;

2° S'il ne prend l'engagement d'honneur de ne jamais adhérer à une telle organisation, au cas où elle viendrait à se reconstituer.

La déclaration et l'engagement prévus par le présent article sont constatés par écrit. »

 

En cas de fausse déclaration, des sanctions sont prévues combinant révocation, fortes amendes et peines de prison pouvant atteindre deux années. Dès le 14 août, la menace véritable se précise avec la communication des formulaires prévus à la déclaration des fonctionnaires. Ils sont de deux sortes : un pour les profanes et un autre de renoncement définitif pour les anciens membres. Une deuxième circulaire en date du 1er juillet 1941 prescrit de nouvelles déclarations. Cette fois, les obédiences sont expressément visées : Grand Orient de France, Grande Loge Nationale, etc. La chasse aux faux déclarants, c'est à dire ceux qui ont souscrit la déclaration de non-appartenance à la place de celle de renonciation définitive, peut alors recommencer.

 

La loi du 11 août 1941 ordonne la publication au Journal officiel des noms et rangs des dignitaires et hauts gradés de la franc-maçonnerie. Cette loi prive des milliers de francs-maçons de leur emploi et de leur mandat d’élu. Ainsi, Jules Émile Crapet, maire d’Abbécourt, est dans l'obligation de démissionner et Fernand Amandio cesse ses fonctions de professeur de musique à Saint-Quentin le 31 juillet 1941 sans pouvoir être réintégré l'année suivante.

Tout commence le 10 juillet 1940 quand l’Assemblée nationale vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Dès l'été, la répression s'abat sur la franc-maçonnerie, frappant les structures de l'ordre, ses biens, ses adhérents, et jusqu'à son image avec la diffusion du film Forces occultes en 1943.




JOURNAL OFFICIEL DE L’ÉTAT FRANÇAIS ARRÊTÉS, CIRCULAIRES, AVIS, COMMUNICATIONS, INFORMATIONS ET ANNONCES ABONNEMENTS compte chèque postal : 100.97, Pari*. UN AN SIX MOIS TROIS MOIS Fiance, Colonies et pays de protectorat français.............................. 1 Pays accordant 50 •/» sur les tarifs postaux................. Etranger. ] . \ * r Autres pays............................................................................... Les abonnements parlent du 1er ou 2 30 fr. 405 » 570 » * du 16 de chaqu 120 fr. 225 » 300 » e mois. 55 fr. 135 » 156 » L'Edition de* « LOIS ET DÉCRETS » comprend : 1° les textes des lois, décrets, arrêtés, décisions, instructions et circulaires; 2° les avis, communications, informations et annonces. JOINDRE LA DERNIÈRE BANDE aux renouvellements et réclamations DIRECTION, RÉDACTION ET ADMINISTRATION





DÉCRETS, ARRÊTÉS & CIRCULAIRES 

PRÉSIDENCE DU CONSEIL

Liste , par obédience, des dignitaires (haut* gradée et  officiers de loge) de la Franc -maconnerie ) Les fréquentes listes ont été établies d’apres  les  premiers relevés des tableaux des loges  «fies portent mention des adresses, professions  par obédience, les documents des loges au moment de l'Inscription de  l’intéressé.

Peuvent figurer sur ces listes des membres des sociétés secrètes qui ont démissionné

depuis leur inscription ou qui se trouvent décédés.

Les secrétariats d’Etat devront faire connaître à la présidence du conseil les fonctions actuelle»? occupées par les fonctionnaires

dont les noms figurent sur ces listes.

Grand Orient de France (suite.

Carrau (Léon), L.\ « Amie des Naufragés •

de Buenos-Ayres, OratA en 1925.

Casanova' (François) contrôleur adjt. Baûtla

(Corse), LA ■ Etoile de Cyrnos » de Bastia,

otricier de loge.

Cassou (Paul-Marie), instituteur en retraite,

4, rue Jeanne-d’Arc, à Pau (Basses-Pyrénées), L.’. « Le Réveil du Béarn » de Pau,

Vén/. en 1931.

Casta (Joseph-Marie-Etienne), instituteur à

Marseille, 98, boulevard Boksson, L.’. « Vérité Réforme » de Marseille, GdA Exp.’. en

1936-1940.

Castre (Jacques-Albert-Caston), employé de

mairie, 6, rue de la Banrc, à Lyon, 18®, L.'.

« Bienfaisance et Amitié » de Lyon, Vén.'.

en 1939..

Caîhaia (A.), vérificateur des poids et mesures,

L.'. « La Parfaite Amitié » d’Albi, Très.’.

Caubet (Fernand-Louis-Elienne), directeur de

la caisse primaire des assurances sociales

du Lot-et-Garonne, 33, rue Marceau, Agen

(Lot-et-Garonne), L.’. « Amitié », L.'. ■ Vraie

Fraternité * d’Agen, Vén.’. en 1938-1939.

Cay'.a (Edouard), agriculteur, Tlemcen (Oran),

LA « Union de Tlemcen » de Tlemcen, MA

des banquels en 1934-1935, 2* Exp.’. adjt en

1931-1935.

Cavla (Régis-Eugène), agriculteur, Tlemcen

(Oran), LA « Union de Tlemcen » de Tlemcen, MA des banquets en 1934-1935

Cazeaux (A.), rue des Thermes, à Bagnèresde-Bigorre (Hautes-Pyrénées), 30®. L.’. « Les

Vrais Amis réunis et l’Indépendance française » de Toulouse.

Cazeriave, 2 bis, rue de Gounes, Toulouse,

LA « La Propagation de la vraie lumière »

de Tarbes, Vén.’. en 1936.

Cazes (Jacques-Edmond), inspecteur primaire

à Troyes. (Aube). LA « La Liberté » de

Paris, officier de loge.

Cbadenson <Louis-Rég:6), conducteur.des ponts

et chaussées, le Puy (Haute-Loire), 18®, LA

• Le Réveil anicien * du Puy, ch.’. ■ Les

Elus ».

Champsiaud, empîové de commerce, 15, tue

du iïelder, Paris (9»), L.’. « La Fraterniié

des Peuples » de Paris, 1» Exp.’.

Chapon, Casablanca (Maroc), LA « FranceMaroc » de Casablanca, officier de loge.

Charlery (RaphaëHldevert), employé de commerce, rue Christophe-Colomb, à Cayenne

(Guyane française), 18®, L.’. « Guyane républicaine » de Cayenne, GdA Exp.’., GhA

« Elus de Guyane républicaine ».

Charnier (Pierre-Henri), instituteur A Lyon

(Rhône), 43, rue Waldeck-Rousseau, L.’.

« Les Chevaliers du Temple » de Lyon, SurvA

Chauchard (Albert-Emmanuel), docteur en

médecine, 6, place de la Sorbonne, Paris (&•),

18®, LA « Conscience et Volonté » de Paris,

Ch.’. « L’Avenir ».

Chauffrein (Elle), professeur de collège, détaché à la Martinique, L.’. « Disciples d’Hlram », OratA

Chevaux, Nice. L.’. « Fratenité internationale

écossaise » de Nice, SecrA en 1935.

Chavanier (Gabriel-Léon), instituteur, Bordeaux (Gironde), 18®, LA « Etoile ou Pro-

§

rô3 », lion.’, en 1922, Ch.’. « Française

'Aquitaine et Candeur réunies ».

Chazeau (Clovis), ingénieur T. P. E., Mostaganem (Oran), L.’. « Les Enfants de Mars »

de Philippeville, SecrA de 1918 à 1923.

Chenevier (L.), professeur à l’école pratique

de commerce et d’industrie, conseiller municipal, Vienne, LA « Concorde el Persévérance » d’Annonay, SecrA en 1925.

(Chevallller (Charles-Franço's-Marius), professeur licencié do 1» classe, censeur au lycée

GallienI, Tananarive (Madagascar), L.’. « Sincérité, Parfaite Union et Constante Amitié

réunies » de Besançon, OratA

Chlcurel (Joseph), négociant, 24, rue BéranS er, Paris, L’. « La Fraternité des Peuples • e Pàris, 2’ MA des CérémA Christ (Jules), rentier, collage « Loulsette », rue Garnier-rages, le Cannet (Alpes-Maritimes), 32®, L.’. « Science et Solidarité » de Cannes, Oral.’, en 1924, Ch.'. « Science et Solidarité », G.’. MA du Cons.’. PhllA de Nice. Clavaud (Roger), adjudant d’artillerie coloniale en Indochine, la Londe, les Maures (Var), 3® L.’. » Le Réveil des lies d’or * d’nyèrcs. Ch.’. « Réunion ». Clement (J.), Moneteau (Yonne), 31®. Glement (Léopold), L.’. « Echo du Grand Orient » de Nîmes, GouvA en 1926-27, juge d’appel en 1926-27. Clery (Alexandre-Eugène), commis des secrétariats généraux, 32, rue Lieutenant-Becker. Cayenne (Guyane), L.’. « Guyane républicaine » de Cayenne, 3° cl 2® survA Close (William-Joseph), outflttors-menager, 5, Gover-Street, à Sweansoa (England), 18®, LA «Harmony », Ch.’, de la Val.’, de Londres. Coissac (Léon), commerçant. 19, rue NolreDame-des-Vicloires, Paris (2e), LA « Espérance » de Bourg-la-Reine, Vén.’. en 1933. Colin, 28, rue Vauquelin, Paris (5e), L.’. « La Fraternité des Peuples » de Paris, Oral.’, odit. Combeuil (Elie), Inspecteur principal de 2® classe. Officier de loge. Compan (Roger-Raoul), publiciste, 21, boulevard du 4°-Tirailleurs, Fez. el Ville-Nouvelle, LA « Eveil berbère » de Fez, Vén.’. en 1936-1937-1938. Costc (Gabriel), commis principal des P. T. T.. 5, rue de la Poste, Meknès, LA « Etoile du Zerhoum » de Meknès, Vén.’. en 1938-1939. Coulure (Jean-Marie-Jutes-Gaston), avoué près la cour d’appel d’Alger. G, boulevard Baudin, Alger, LA • Bélisaire » d’Alger, Vén.’. en 1938-1939. Creance (Léon-M.), LA « Echo du Grand Orient ». de Mmes. 1er exp.’. HospA adjt en 1925-1927. Curtenelle (Pierre), Inspecteur de l’enseignement primaire retiré à Blois, Tanger, LA « Nouvelle Volubilis » de Tanger, LA « Arts réunis » de MAcon, Vén.’. en 1927-1928. Daby (Seewenken), avenue Bclle-Rose-QuatreBornes, Port-Louis (Ile Maurice), L.’. « La Bienfaisance » de Port-Louis, Vén.’. en 1937. Dary (Paul-Lucien), économe. 1, place du Parvis-Notre-Dame, Paris (4e), LA « Voltaire » de Paris, Vén.’. en 1938-1939. Davoust (Charles), métreur en peinture, 31, rue de Maubeuge, Paris (9e), LA ■ Inséparables du Progrès » de Paris, DépA suppA As.’. généA en 1932-1933 Debcrnard, Brive (Corrèze), LA ■ La Fraternité » de Brive. DélA en 1925 Dcbs (Néjib), médecin, Zatilc Liban), 18®, LA « Etoile du Liban », lion.’. Delpech (Léonce-Joseph), gouverneur de 3® classe des colonies. Officier de loge. Delpeuch père, 33, rue de Polssy, Taris (5e), L.’. « La Fraternité des Peuples » de Paris, MA adjt. des banquets. Delvallée (Auguste), hôtelier, Saint-Saulve, 18®, LA de P..« Les Parfaits Egaux ®, de Valenciennes. Demaria (Louis-Fernand), service auxiliaire de la distribution P. T. T., Orient de Draguignan, Officier de loge. Deschamps (Pierre), directeur d’école primaire supérieure en retraite, 3, boulevard Clemenceau, à Marseille, L.’. « Les Amis du Travail » de Marseille, Vén.’. en 1937-1938- 1939. Desmoulins (Albert-Ernest), agence h Vichy, L.’. « La Cosmopolite » de Vichy, GdA exp.’. adjt. en 1939 Devcrnouilte, 210, avenue de Saxe, Lyon, L.’. « Les Chevaliers du Temple » de Lyon, Très.’, en 1923. Devert (Alfred), Juge fle paix, Capbreton, Orient de Pau, ChA « Idéal' humain ». Dies (Jean), masseur et représentant, 7, rue Joseph-Bara, Paris (G®), LA « Unité maçonnique » de Paris, Vén.’. en 1938-1939. Dilhac (Philippe-Guillaume), inspecteur primaire honoraire, Drneuignan (Var), 30®, J..'. « L’Egalité » de Draguignan, Vén.’. en 1924. Dorsematne fFrancois), négociant, 5*7, rue de Paris, à Vichy, 18®,

Doury (Edmond), LA » Amis des Naufragés • de Buenos-Ayres, HospA en 1925. Droin (Charles), colonel de gendarmerie en retraite 2, chemin des Aubépines, A Bron (Rhône), L.’. « Liberté et Progrès • de Coûtantes, Ch.’, de la Val.’, de Lyon. Dubar (Fernand), Ingénieur, chef de service du port de Beyrouth, compagnie du port, rue Weygand, 4 Beyrouth (Syrie), L*. « Les Enfants de Gcrgovic » de Clermont-Ferrand, 18®, L.’. « Syrie » de Beyrouth, Vén.’. en 1939. Dubief, ministre en 1912, membre du conseil de l’ordre. Dubourge.it (François), officier du génie, 18®, Ch.’. « Le Phare de la Chaoula ». Ducios (Jean-Louis), Instituteur, directeur d’éoolc Jean placé, Clermont-Ferrand, LA ■ Les Enfants de Gcrgovic » de ClermontFerrand, L.’. « La Justice » de Thicrs, *’.’ en 1937. Ducroix (Clérncnt-Maurice-IIenri), architecte, 57, boulevard Jean-Jaurès, Ctichy (Seine), LA « Evolution économique » et « Hommes libres réunis • de Parts, TréA en 1925-26-27. Duminil (Eugène-Alfred), Instituteur en r®- traite, 83. rue Poux, Boulogne-sur-Mer (Pasde Calais), L.’. ■ Indépendance et Progrès * de Calais, officier de loge. Dunème (Léon-Ju(es-Arsène), docteur en médecine, 10, rue Turbigo, Paris. 30®, L.’. « Conscience et Volonté », Ch/. « L’Avenir », CA PhA ■ L’Avenir ». Duperrier (Lucien ;, instituteur à Riilieux (Ain), Saint-O’.ive (Ain), LA « L’Amitié fraternelle » de Bourg-en-Bresse, Ch.’, de .'â Val.’, de Lyon. Duplennc (Alphonse-Lucien-Eugène), docteur en médecine, chirurgien, 2, rue Bab-el-Al* louciie, Tunis, L.’. « Etoile de Cartilage » de Tunis, Vén.’. en 1938-39. Dupon( (Eugène-Gustave), propriétaire, 18®, Ch.’. « Phare de la Chaoula » de Casab.anca. Dupuis (Alexandre), instituteur, la Réunion, L.’. « L’Amitié » de Saint-Denis, SecrA adjt Dulrern (Elisée;, Joaillier. 665, 10 av.. NewYork-City (U. S. A.), LA « L’Atlantide * de New-York, Vén.’. en 1938. Duvai (André), 10 bis, rue de^ Fontenay Bourg-la-Reine. L.’. « Espérance » d« Bournla-Reine, Très/, en 193L Elasfl (Auguste), conducteur local, travaux publics, retraite, 35, rue Voltaire, A Cayenne, 18®, 1" SurvA, Ch-’. ■ Elus Guyane répjr biicaine ». Elgosi (Alfred), avocat, 11, boulevard Charlemagne, Oran, 18®, L.’. « La Raison » d’Oran, Vén.’. en 1939. , Rondier dit Eiler (Lucien), artiste pelntr®, 10. rue du Canada, h Paris (18e), LA « Parfaite Sincérité » de Marseille, Vén.*. d’Hon.’, en 1933, LA « Nord-Midi * de Paris, Fond/. Emile (Ghanini), chef comptable A Antioche, 18®, LA « Anliochus » d’Antioche, Fond.. en 1922. Erard (Vlotor), percepteur en retraite, Montreuil (Seine), LA « Les Amis solidaires * de Meaux, lion.’. Eyquein, officier d’administration, 18®, ChA « La Fraternité marocaine », ChA • Phare de la Chaoula ». Fabre (André), LA « La Libre Pensée • d® Narbonne, OratA en 1933-1934. Fahri (Isaac), commerçant, BuenosnAyres (République argentine), 18®, LA « La Confiance » du Caire. Favereau, chef de service des domaines d» Maroc, 18®, LA « Fraternité marocaine » d® Rabat, Vén.’., Fond.’. Favot (Henri-Alphonse), économe en retrait®, rue de l’Arquebuse, Auxerre (Yonne), L.. « Le Réveil de l’Yonne » d’Auxerre, Hou.', en 1936. Favre (Emile-Jean), répétiteur au lycée, député de la Haute-Savoie, Paris, 18°, L.. « Réunion des Amis choisis », Ch/. ■ L® Fraternité ». Ferry (Robert), Instituteur A Moycnmoutler, Raon-l’Efape (Vosges), L/. « Jules-Ferry • de Saint-Dié, Officier de loge. Finelll (Georges), LA « Amis des Naufragés » de Buenos-Ayres, Gardien du Temple e® 1925. FiMère (Théophile), employé. Buenos-Ayres (République argentine), LA « Ainis des Naufragés • de Buenos-Ayre®, GA expA en 1925.

Fl*<:ks (Germain), dcniiste, Cnen (Calvados), L.’. « Thémis ■ de Caen, 1;.'. ■ Fédération universelle » de Paris, Oral.*, en 1936. Fleury (Georges), trésorier ù la Comédie-Française, 14, rue de Provence, à Paris (9»), L.’. « Temple de l’Honneur et de l'Union » de Paris, Très.’, en J936, L.’. ■ La Marseillaise ». Fonquetcnu (Adonis), capitaine, Pakla, 4®, L.’. de P. « Les Abeilles d Orient » de Saigon. Fontecavc (Frank-Itaoul), poriier, commis P. T. T., rue Lamartine, Viliefranche-sur-Saône, L’. « Fraternité progressive » de Villcfranehe, Officier de loge. Français (Léon), professeur, Nantes (Loire-Inférieure), lion.’, en 1933. François (Claude-Henri), dessinateur, C. F. M„ rue de l'Aviation-Civile, Rabat, L.'. ■ Sincérité et Tolérance » de Taza, Arch.\ en 1930, 1937. Françoise (Eugène), contrôleur technique des ehemins de fer de l’Est, f*2, rue Ordener, Paris (180, 18°, L.’. « Amitié » de Paris, Ch.’. « L’Avenir » de Paris. Frischmnnn (Lucien-Albert), graveur lithographe, 12, rue de Beücvue, Ezarivilto (Seinc-etOise), 18®. L.’. « Les Vrais Experts » de Paris, Ch/. « L’Avenir » de Paris. Ralassini (Antonio), Camdcn Rond 65 A. Londres (England), 18°, L.'. « Iiumanitas », Ch.’. ■ Iiumanitas ». Galasso (Attilio), médecin, Calauzano (Italie), 18°, L.'. « Iiumanitas », Cli.’. de la Val.', de Londres. Galasso (Francesco), médecin, 21 Frilh Slrcct, Londres, 18®, L.’. « Iiumanitas », Vén.’. d’hon.’. Galip, docteur en droit, ancien ministre, rue Charles-Dickens, 1, Paris (10®), 18®, L.’. « La Fraternité des Peuples » de Paris. palley (Jean-Marie-Joseph-Roger), employé de bureau, centre de réforme, Toulouse, 23, rue Gaffarelli, L/. « Harmonie sociale » de Toulouse, Vén.'. en 1938-39. Galopin (Claude-Edouard), inspecteur d'assurances, Rligny (Aube), L.’. « Voltaire » de Paris, Uçn.'. en 1926. Carangcr (Edouard), tailleur, 8, passage Ruelle, Paris (18e), L.*. « Union et Progrès » do Pacy-sur-Eure, Hosp.\ parbert (Georges), négociant, 41 Bowes, 33®, L.’. « La Bienfaisance » de Port-Louis, lion/. Garcia (Michel), clerc d’avoué, Tlemccn, L.'. « Union de Tlemccn » de Tlcmcen, Sccr.\ «dit.’. en 1931-35, Arch.’. Bibl.\ adjt. en 1934-35. Gassanne (Bernard - Edouard), employé, Puteaux, L/. « Le Progrès » de Paris, lion/, en 1921. pauberii (Maurice-Joseph), agent de publicité, 103, rue Lemercier, Paris (17e). L.'. « Les Inséparables du Progrès » de Paris, Vén.’. «n 1938. Gaudin (Louis), conducteur principal des travaux publics, rue de Londres, Mcknès. boîte postale 23, L.’. « Etoile du Zcrhoun * de Mcknès, Vén.'. en 1925-26-29. Gaudin (Louis), ingénieur en service vicinal, conducteur de travaux publics, Bramme (Gironde), L.’. ■ Vers la Justice » de Sarlat, L.’. « Etoile du Zerhoun » de Mcknès, Fond.'. .Gavard (Eugène-Félix), employé, 11, rue Car6 eaux, Paris (18e), L.’. « Là Lumière * de euilly-sur-Seine, sccr.’. en 1934. Gcmignani (Louis dit Balthazar), courtier en coton, Roanne, 18®, L.’. « Concorde et Persévérance » de Vienne, Ch.’, de la Val.’ de Lyon. Geniole (Georges), mécanicien. 12, rue du Delta. Paris (9e), L.'. « Evolution économique et Homme, libre réunies » de Paris, Secr.'. adjt. en 1935-3G-37. Penyene, 54, rue des Acacias, Paris (17e), L/. « La Fraternité des Peuples » de Paris, M.\ . des banquets. Peorgcs, représentant de commerce, 30, rue Gassendi, Paris (14e), L.’. « La Fraternité des Peuples » de Paris, Archlv.’. Pcreec (Alain), industriel, Mazagan, L.’. « El Bridia Dial Doukkala • de Mazagan, Vén. . en 1924-25-26. Ghisolfi (Jules), sous-préfet honoraire, rue des Lois, Oudjda. L.’. « Prométhée » d’Oudjda, Vén.’. en 1923-24. Pillard (Louls-Alfred-Gustave), instituteur, rue Grève, 4, Vendôme. 18®, L.’., V* s

Gloton (Virgile), renlier, 1, villa Momet, Paris (19e), L.'. « Union de Belleville » de Paris, L.’. ■ Tradition maçonnique » de Paris. Fond’, en 1935. Clou (Antoine), caissier, Alexandrie (Egypte), 18®, L.'. ■ Pyramides d'Egypte » d’Alexandrie. Gobin (Clovis), retraité, 7, rue Blanche, Gage- . la-Forèt (Oise), L.’. « Union philanthropique » de Saint-Denis, L.’. « Travail et Fraternité » de Saint-Denis, L.’. « Travail et Fraternité » de Bourges, lion.*, en 1935. Godchaux (Yvan), négociant en tissus. 46, rue d’Aboukir, Paris, L.’. « Frères unis inséparables » de Paris, L.\ « Aristide Briand », . Fond.’. Godebcrge ( Alcide ), ingénieur, Poitiers (Vienne), L.’. « Arts et Métiers » de Paris, lion.’, en 1936. Godefroy (Raoul), serrurier. Meung-sur-Loire (Loiret), L.’. « Le Réveil des Emules de Montyort » d’Orléans, L.*. « Etienne Dolet » d’Orléans, lion.’, en 1935. Godin (Frédéric), procureur de la République, 111, rue Michelet, Alger, 30e, L.’. « Le Soleil Levant » d’Alger. Goclt (Emile), chef de cuisine, 34, quai des Grands-Augustins, Paris (6e), L.’. « Emancipation de Paris », Hon.\ en 1933. Gogniat (Georges), chef d’orchestre, 48, Th Strcet-’Wod-Side-Long-Island-City, New-York, L.’. « L’Atlantide » de New-York, Vén/. en 1939. Gohler (Arthur-Eugène), monteur en téléphone, retraité, 26, rue de la Hurée, Vauxsous-Laon (Aisne), L.’. « Les F.F.*. du Mont-Laonnois * de Laon, non.’, en 1935. Gonzalcs-Monjas (Gabriel), employé des postes, mayor, 47, IIcmani-Guipuzcoa (Espagne), L.’. « Spartacus » de Hcndaye, Fond.’. Goudinoux (Picrrc-Ursiij), directeur d’école honoraire, 33, rue du li-Juiilet, Cosne. L.’. « Philanthropie et Progrès » de Cosne. Vén.’. en 1935. Conlard (Eugène-François), inspecteur général d’assurances, 40, avenue Sccrétan, Paris (19e), L.’. « Etoile Polaire » de Paris, lion.’, en 1935. » Gourdan (Taul-Félix), entrepreneur de travaux publics, rue des Minimes, la Rochelle (Charente-Maritime), L.’. « Union de Belleville » de Paris, lion.’, en 1934. Gourdon (William), relraité des chemins de 1er, la Rochelle (Charente-Maritime), L.’. « L’Union parfaite » de la Rochelle, lion.’, on 1933. Gourlet (de) (Paul), contrôleur civil suppléant, Souk-el-Arba. Tunisie, 18®, L.’. « La Vo-, lonté » de Tunis, S.’. C.’. n® 374 « La Volonté Sub Rosa », Val.’, de Tunis. Gousy (Jean-Eugène), dessinateur de la compagnie parisienne d’électricité, 20, rue JeanBinet (Seine), L.’. « Les Droits de l’Homme » de Paris, Vén.’. en 1938. Goulx (Pierre-llonoré), directeur d’école, Tiemcen, Oran (Algérie), 18®, L.’. « Trinosophes africains » de Mostaganem. M.\ de la Comm.’. des Finances en 1934-1935, Mbre de la Comm.’. de la Bibli.’. en 1934-1935. Gouzon (ricrrc-Emilc), contrôleur des contributions en retraite, 13, rue de la Brêcheaux-Loups. Paris (12e). L.’. « Les Amis réunis » de Bordeaux, lion.’, en 1939. Gowlhorpe (Charles), vendeur, 30, chemin Vauché, Saint-Ramhert-l’lîc-Barbe (Rhône), L.’. « Les Chevaliers du Temple » de Lyon, Orat.L en 1940. (A suivre.) 



Maire* et adjoints aux maires. Le ministre secrétaire d’Etat A l’intérieur,‘ Vu l’article 2 de la loi du 11 août 1941 sur les sociétés secrètes; Vu l’article 4 de la loi du 16 novembre 19*0 relative au pouvoir de substitution de l’auto-' rité supérieure, aux délégations spéciales,  l’administration cantonale et aux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941; Considérant que M. Ruault (Robert), adjoint au maire de la commune de Saint-AubIn-! d’Ecrosville (Eure), tombe sous le coup des dispositions de l’article 2 de la loi du il août 1941 sur les sociétés secrètes. Arrête: Article unique. — M. Ruault (Robert), adjoint au maire de la commune de Saint-Àubin d’Ecrosville (Eure),. Est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942. • PIERRE PUCHEU.

 

Considérant que M. Bertruc (Julien), maire de la commune de Salles (Gironde), tombe sous le coup des dispositions de 1 article 9 de la loi du 11 août 1941 sur les sociétés secrètes, Arrête : Article unique. — M. Bertruc (Julien), maire de la commune de Salles (Gironde), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait A Vichy, le 20 février 4942. Pierre Pucheu . 

Le ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur. Vu l’article 4 de la loi du 16 novembre 1940 relative au pouvoir de substitution de l’autorité supérieure, aux délégations spéciales, et de l’adminislration cantonale et aux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941; Considérant que M. Gardct (Achille), maire de la commune de Gemonval (Doubs), ne présente plus les garanties morales nécessaire» A l’accomplissement de son mandat. Arrête: Article unique. — M. Gardet (Achille), maire de la commune de Gemonval (Doubs), est déclaré démissionnaire d’office de ses Fonctions. Fait à Vichy, le 20 février f942. PIERRE Pucheux Considérant que M. Gouzy, maire de la commune de Jouy (Eüre-et-Loir), ne réside plus dans la commune depuis plusieurs mois et a cessé, de ce fait, d'exercer les devoirs de sa charge. Arrête: Article unique. — M. Gouzy, maire de la commune de Jouy (Eure-et-Loir), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait A Vichy, le 20 février 1942. PIERRE Pucheux  

 

Considérant que M. Lacombe (Albert), maire de la commune de Saint-Michel (Loiret), a contrevenu à la réglementation relative aux transports des céréales. Article unique. — M. Lacombe (Albert)V maire de la commune de Saint-Michel (Loiret), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942.  PIERRE PUCHEU

 

Conseils municipaux. — Délégations spéciales. 

 

Le ministre secrétaire d'État à l’intérieur, Vu les articles 6 et 7 de la loi du 16 novembre 1940 relative au pouvoir de substitution de l’autorité supérieure,'aux délégations spéciales, à l’administration cantonale et eux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941 ; Considérant que le conseil municipal de la commune de Fel (Orne) manifeste de l’hoslilité à l’œuvre de rénovation nationale.

 Arrête: Art. !•'. — Le conseil municipal de la commune de Fel (Orne) est dissous. Art. 2. — Il est Institué dans la commune de Fel (Orne) une délégation spéciale habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal et ainsi composée : Président: M. Buquet (Paul); membres: MM. Duval (Caston), Pomier (Louis). Fait A Vichy, le 20 février 1942. PIERRE  PUCHEU

 

Considérant nue M. Ledebt, maire de la commune de Rolleboise (Seine-et-Oise),  en qualité de gérant à une cabine téléphonique, souscrit une fausse déclaration de non-appartenance aux sociétés secrètes, et ne présente plus ainsi les garanties morales nécessaires a l'accomplissement de son mandat, Arrête : Article unique. — M. Ledebt, maire de la commune de Rollcboise (Seine-et-Oise), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942. Pierre Pucheu 

 

Considérant que M. Dubois, maire de la commune d’Estrée-Blanche (Pas-de-Calais), a contracté des habitudes d’intempérance incompatibles avec la dignité de ses fonctions. Arrête : Article unique. — M. Dubois, maire de la commune d’Eslrée-Blauchu (Pas-de-Calais), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait à Vichy, Je 31 janvier 1942. PIERRE PUCHEU 

Considérant que M. Penin, maire de la commune de Buire-au Bois (Pas-de-Calais), a fait l'objet d’un procès-verbal pour vente de moutons sans bon régulier et hausse illicite. Arrête : Article unique. — M. Penin, maire de la commune de Buire-au-Bois (Pas-de-Calais), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 31 janvier 1942. PIERRE PUCHEU

 

 

 

 

 

 

Maire* et adjoints aux maires. Le ministre secrétaire d’Etat A l’intérieur,‘ Vu l’article 2 de la loi du 11 août 1941 sur les sociétés secrètes; Vu l’article 4 de la loi du 16 novembre 19*0 relative au pouvoir de substitution de l’auto-' rité supérieure, aux délégations spéciales,  l’administration cantonale et aux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941; Considérant que M. Ruault (Robert), adjoint au maire de la commune de Saint-AubIn-! d’Ecrosville (Eure), tombe sous le coup des dispositions de l’article 2 de la loi du il août 1941 sur les sociétés secrètes. Arrête: Article unique. — M. Ruault (Robert), adjoint au maire de la commune de Saint-Àubin d’Ecrosville (Eure),. Est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942. • PIERRE PUCHEU.

 

Considérant que M. Bertruc (Julien), maire de la commune de Salles (Gironde), tombe sous le coup des dispositions de 1 article 9 de la loi du 11 août 1941 sur les sociétés secrètes, Arrête : Article unique. — M. Bertruc (Julien), maire de la commune de Salles (Gironde), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait A Vichy, le 20 février 4942. Pierre Pucheu . 

Le ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur. Vu l’article 4 de la loi du 16 novembre 1940 relative au pouvoir de substitution de l’autorité supérieure, aux délégations spéciales, et de l’adminislration cantonale et aux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941; Considérant que M. Gardct (Achille), maire de la commune de Gemonval (Doubs), ne présente plus les garanties morales nécessaire» A l’accomplissement de son mandat. Arrête: Article unique. — M. Gardet (Achille), maire de la commune de Gemonval (Doubs), est déclaré démissionnaire d’office de ses Fonctions. Fait à Vichy, le 20 février f942. PIERRE Pucheux Considérant que M. Gouzy, maire de la commune de Jouy (Eüre-et-Loir), ne réside plus dans la commune depuis plusieurs mois et a cessé, de ce fait, d'exercer les devoirs de sa charge. Arrête: Article unique. — M. Gouzy, maire de la commune de Jouy (Eure-et-Loir), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait A Vichy, le 20 février 1942. PIERRE Pucheux  

 

Considérant que M. Lacombe (Albert), maire de la commune de Saint-Michel (Loiret), a contrevenu à la réglementation relative aux transports des céréales. Article unique. — M. Lacombe (Albert)V maire de la commune de Saint-Michel (Loiret), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942.  PIERRE PUCHEU

 

Conseils municipaux. — Délégations spéciales. 

 

Le ministre secrétaire d'État à l’intérieur, Vu les articles 6 et 7 de la loi du 16 novembre 1940 relative au pouvoir de substitution de l’autorité supérieure,'aux délégations spéciales, à l’administration cantonale et eux secrétaires de mairie, modifiée par la loi du 28 juin 1941 ; Considérant que le conseil municipal de la commune de Fel (Orne) manifeste de l’hoslilité à l’œuvre de rénovation nationale.

 Arrête: Art. !•'. — Le conseil municipal de la commune de Fel (Orne) est dissous. Art. 2. — Il est Institué dans la commune de Fel (Orne) une délégation spéciale habilitée à prendre les mêmes décisions que le conseil municipal et ainsi composée : Président: M. Buquet (Paul); membres: MM. Duval (Caston), Pomier (Louis). Fait A Vichy, le 20 février 1942. PIERRE  PUCHEU

 

Considérant nue M. Ledebt, maire de la commune de Rolleboise (Seine-et-Oise),  en qualité de gérant à une cabine téléphonique, souscrit une fausse déclaration de non-appartenance aux sociétés secrètes, et ne présente plus ainsi les garanties morales nécessaires a l'accomplissement de son mandat, Arrête : Article unique. — M. Ledebt, maire de la commune de Rollcboise (Seine-et-Oise), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 20 février 1942. Pierre Pucheu 

 

Considérant que M. Dubois, maire de la commune d’Estrée-Blanche (Pas-de-Calais), a contracté des habitudes d’intempérance incompatibles avec la dignité de ses fonctions. Arrête : Article unique. — M. Dubois, maire de la commune d’Eslrée-Blauchu (Pas-de-Calais), est déclaré démissionnaire d’office de ses fonctions. Fait à Vichy, Je 31 janvier 1942. PIERRE PUCHEU 

Considérant que M. Penin, maire de la commune de Buire-au Bois (Pas-de-Calais), a fait l'objet d’un procès-verbal pour vente de moutons sans bon régulier et hausse illicite. Arrête : Article unique. — M. Penin, maire de la commune de Buire-au-Bois (Pas-de-Calais), est déclaré démissionnaire d'office de ses fonctions. Fait à Vichy, le 31 janvier 1942. PIERRE PUCHEU

 

 

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  • Erick Labrousse J'ai participe au procès de Maurice Papon à Bordeaux en soutien aux parties civiles. . Je me suis très vite rendu compte que les informations parvenues aux citoyens vis à vis de ce procès atténuaient les responsabilités pour la défense.
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